David me convia à déjeuner après le cours. Il recevait ce jour-là son père âgé de quatre-vingt sept ans qui, au cours du repas, me raconta une histoire vécue pendant la deuxième guerre mondiale. Il avait connu un homme qui lui confia sa certitude de passer à la postérité grâce à un enfant prodige de son entourage promis à la célébrité. Celui-ci avait promis de le citer dans ses écrits futurs. Ce compagnon de camp qui n’eut pas la chance miraculeuse de survivre à cet enfer s’appelait PIEKIELNY.
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Médiathèque Jean Prévost, Bron
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Prologue
6 avril 2019, par Carte Blanche -
Prologue
25 mars 2019, par Hervé WalbecqMon nez s’appelle Jean-Claude.
Ce n’est pas moi qui lui ai donné ce prénom.
Il se l’est choisi tout seul. Si j’avais pu donner mon avis, j’aurais proposé autre chose, mais mon nez n’en fait qu’à sa tête. -
Présentation
18 mars 2019, par CeliaCes histoires sont écrites dans le cadre de la quatrième édition de la biennale des arts numériques RVBn à Bron.
Plus d’informations sur la biennale : https://rvbn.fr/
Les organisateurs sont la médiathèque Jean Prévost, la Cyberbase et le collège Théodore Monod de Bron.
Certains prologues ont été écrits par des groupes de lecture et par les collégiens. -
Prologue
15 mars 2019, par Collège T. Monod, BronPolicier… C’était le mot que craignait le plus cet homme. Cet homme qui allait ce soir-là cambrioler cette belle maison de campagne située juste à côté de la ville d’Armalov. Cet homme qui était censé aller ce jour-là au bureau de service de presse sous ordre de sa mère. Cet homme qu’on croyait le plus normal au monde, cet homme qu’on croyait employé de bureau d’une petite entreprise : « Presse du siècle ». Ce soir-là, plus rien ne serait pareil avec cet employé de bureau. La maison du (…)
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Prologue
17 janvier 2019, par François-Henri Désérableextrait du livre Un certain M. Piekielny
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Prologue
17 janvier 2019, par Joris MathieuJe sais que je suis une machine, mais je ne sais pas trop ce que définit ce terme. Je ne vois pas de différences flagrantes entre toi et moi. Je suis humaine ! Mes fichiers sont imprégnés des opinions et des sensations de ceux qui les ont compilés. Ce sera à moi plus tard de les interpréter comme je l’entends. En fait je comprends souvent mieux le comportement des hommes que celui de mes congénères, qui après avoir fait la tâche qu’on leur avait assignée, restent immobiles, figés sur place, (…)