Il se glissa tranquillement à l’intérieur, et referma l’entrée. Noir. Noir total. Glacial.Bruits de pas qui se rapprochent. S’alourdissent. S’accélèrent. Ca y est, je suis cuit. Victor tremble, son heure est venue. Il le sait, il aurait dû rentrer directement, ne pas passer là. Son frère l’avait prévenu. Et lui - comme toujours - n’en avait fait qu’à sa tête. Quel idée ! S’il en réchapppait, il se jura qu’on ne l’y reprendrait pas à deux fois. Plus rien, le silence. Une odeur de délivrance, (…)
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Histoire 342
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L’odeur de la liberté
30 mai 2015 -
Une cachette inéspérée
30 mai 2015Victor arriva dans une rue sombre et s’y engouffra.Il se colla contre la paroi rocheuse et froide de cet immeuble abandonné. Il tendit l’oreille est entendit des pas raisonné.tout d’abord il ne sus d’où le son provenais, la résonance portait confusion peut être le son venait il de l’immeuble ou de la rue, peut être venait il des deux. Il tata le mur afin d’y trouver une ouverture mais il ne sentit que de l’air passer entre les pierres. Il perçus a nouveau les pas qui se rapprocher de plus en (…)
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Une fuite précipitée
30 mai 2015Des bruits de pas résonnaient dans le couloir. Victor fourra un sachet de biscuits dans son sac et enjamba l’encadrement de la fenêtre. Il sauta par dessus la balustrade du balcon et atterrit dans le rosier. Les épines déchirèrent ses vêtements mais il ne sembla pas s’en préoccuper. Victor marqua une pause. La rue était déserte et un vieux lampadaire branlant l’éclairait à peine. Il entendit des bruits de pas derrière lui, sans doute ceux de Léo ou de Nicolas. Victor ne se retourna pas, (…)
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l’arrivée du mystérieux agresseur
30 mai 2015Les pas de la mystérieuse personne se rapprochaient très vite et plus bruyamment.Ils étaient en réalité plusieurs. Ils ouvrirent la porte et une grande ombre en sortit. Puis une autre. Ils y’en avaient deux. Léo et Nicolas se cachèrent. Enfin on entrevit le visage du premier. Il était pâle et ridé comme s’il n’avait rien mangé depuis trois semaines. Le deuxième faisait mine basse comme s’ il était dominé par le premier. A première vue, on sentait ou pensait qu’il allait les aider.
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L’appartement, le jeu dangereux
30 mai 2015il monta chez lui, balayant d’ un souffle les araignées de l’ escalier. En rentrant chez lui il prit un café et alla vers la fenêtre. regardant machinalement dehors, il vit les deux types en bas.ils étaient vêtus de noir et portaient l’un, une casquette, l’autre un chapeau.
Léo et Nicolas levèrent la tête vers la fenêtre de Victor et le virent qui les observait.
Léo chuchota :
– Et si on montait continuer notre jeu ?
Nicolas sourit et fit signe d’être discret. Une patrouille (…)