Dans le manoir oublié, envahi par les pissenlits,
Les pétales d’or éclatent, illuminant les endroits sombres,
Les aigrettes dansent, messagers du vent infini,
Chuchotant des histoires anciennes, des secrets sans nombres.
Dans chaque pièce, sur le parquet, jusqu’aux moindres recoins,
Les pissenlits ont tissé leur tapis doré, leur royaume sans fin,
Ils sont les seigneurs de ce lieu, dans leur splendeur éclatante,
Leur présence est un hymne à la vie, une danse enivrante.
Ils sont les danseurs de la lumière, éclats fugitifs du soleil,
Portés par le souffle du vent, ils parcourent le monde en éveil,
Leurs pétales légers comme plumes, leurs graines voyageurs éphémères,
Ils célèbrent la liberté, l’harmonie dans l’univers qui s’émerveille.
Dans le jardin abandonné, ils sont les témoins de l’éphémère,
Les pissenlits dansent, légers comme l’air, dans la lumière,
Leur présence est un souffle de vie, un rappel du hasard,
Dans ce monde en mouvement, où tout est fugace, tout est brouillard.
Pourtant, les hommes les voient comme des envahisseurs, des intrus,
Ils ne comprennent pas leur beauté, leur légèreté, leur refus,
De se soumettre aux lois du temps, aux cycles de la nature,
Les pissenlits sont les gardiens de l’éternité, les porteurs de l’aventure.
Sous le soleil éclatant, ils brillent, libres et fiers,
Leur éclat est une promesse, un espoir, un éternel mystère,
Ils sont la force de la nature, l’incarnation de la vie,
Et dans ce manoir oublié, ils célèbrent leur victoire, leur harmonie infinie.
Ils sont les fugitifs du temps, les éclats de soleil dans la nuit,
Leur légèreté est leur force, leur liberté leur unique appui,
Dans leur danse éternelle, ils nous rappellent l’importance de vivre,
Et d’apprécier chaque instant, chaque souffle, avant que la fin arrive.
Dans les jardins enchantés, où les enfants soufflent sur les aigrettes,
Ils deviennent les gardiens de la beauté du monde, les poètes,
Leurs rires résonnent, leur innocence illumine chaque coin,
Ils célèbrent la nature, sa magie, sa grâce, dans un doux refrain
Dans l’immensité de l’univers, la vie d’un pissenlit a autant de valeur,
Que celle d’un homme, car la nature a une âme, une force, un cœur,
Elle nous enseigne la beauté de l’harmonie, la magie de l’équilibre,
Et dans ce manoir oublié, elle reprend sa place, dans un nouveau livre.