Ne pas écrire dans cette case
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Histoire 06
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Phase d’édition et d’illustration - Ne pas écrire dans cette case
2 mars 2023, par Collège Gilbert Dru 1, Collège Gilbert Dru 2, Collège Gilbert Dru 3 -
Hommage à l’homme aux semelles de vent
17 janvier 2023Par le soleil blanc qui illumine la plage, mes pieds nus touchent l’océan
le soleil brille haut dans le ciel azuré, les rires résonnent, les soucis
s’envolent en douceur. Été.Par ces fameux jours orangés, chatouillé par les rayons ardents
du soleil, émerveillé, je profiterai du sable chaud
allongé sur la plage, pas si loin de cette eauPar ce ciel orangé d’été, j’irai dans la mer
picoté par ce sable, rêveuse, je mouillerai
ma tête, emportée par le soleil et ses rayonsPar delà le ciel bleu d’été, je réfléchirai, loin des ennuis de la vie
je m’élancerai dans des rêves insensés
Calmé, je sentirai l’odeur de l’océan et
me laisserai alors emporter par le ventPar les matins azurs d’été, sentir la fraicheur de l’air
mon corps emporté, la mer l’a libéré
C’est pendant l’été que je veux renaître
pour marcher parmi les hautes herbes bien vertesPar les belles matinées oranges d’été,
je ne dirai rien, un silence s’installera et
je regarderai voler sur mes lèvres un sourire
voler les grandes aigrettesPar les douces matinées d’été ensoleillées
au loin j’entends les vagues de l’océan
la fraîcheur de l’eau incolore trempant mes pieds
suivi des chants d’oiseaux, je m’aventureraiPar le coucher de soleil orange d’été
je resterai sans bouger observer le ciel
dans mes pensées, la lumière du soleil
je me laisserai porter par ce monde enchantéPar cette belle matinée printanière
mon esprit divagant au gré de mes idées
je me réveillerai fraîche comme ces fleurs jaunes
la douce brise m’emporte, je me laisserai fairePar une journée rose de printemps, mains au ciel
l’odeur des cerisiers parfume le beau ciel
l’herbe fraîche chatouille mes pieds nus
le vent s’agite formant une clef de solPar les nuits noires d’hiver, nous irons nager dans l’océan
j’aime ce froid ardent frissonnant dans mon corps
je laisserai le vent siffler dans mes oreilles
aucune pensée, esprit libre, joie éternellePar les matins gris d’hiver, j’irai voir la neige blanche
je regarderai fondre la glace sur les montagnes
mes souvenirs commencent à se disperser
mais une odeur m’arrive loin bien loin
comme si c’était du bout du mondeJe me souviens de ma mère …
Au réveil, il était l’heure de vivre.
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Dépaysage de nos univers reflétés
7 décembre 2022, par Collège Molière 1, Collège Molière 2Poëtes inconsidérés comme le paysage envoutant de l’automne
Je dissimule mes sentiments, de ma couverture scintillante
En ces jours d’automne un léger brouillard est là, déchiré par le soleil du matin
Tel un rêveur, j’aimerais que ses douces mains réchauffent les miennes
Le meilleur sacrifice de la vie est la privation, pour voir la lumière il faut te priver
Je prends mon temps pour faire du bien à des gens qui ont besoin
Ne restons pas indifférents de la vie scintillant en nous
Soyons maîtres de nos choix et de notre destin
Chaque adolescent crée son propre univers que seuls les parents ne comprennent pas
Dans l’herbe, un bouquet de fleurs y est délaissé
Sous mes yeux la flamme bleue de la vie s’éteint
La nuit du tombeau garde les nombreux secrets
Une assiette brisée ne peut être recollée
Voyager est ma seule raison d’être
La neige damnée par les cieux comme une dameuse danseuse
Bleu azur, couleur de la mer et du ciel
Couleur que tous aiment
Tel Victor Hugo avec l’embrasement de mes mots j’utilise l’espérance comme essence dans l’espoir futile d’une douce réalité
Je cherche la lumière dans la lueur du ciel
La nuit tombe, foudroyante, recouvrant notre esprit entier, riche de connaissances recueillies pendant toute la journée
Loin, au large, la tempête fait rage
L’horizon me donne des frissons
Ici ou là-bas
Me délivrer de ses sangs de démons
Les créatures aux extrêmes goémons
Me blottir dans ta fourrure réchauffante me donne une plénitude insurmontable
La douleur est un plat qui se mange froid
Trop de vitesse est surnaturel
Et la ville maudite m’ensorcèle
Sans magie aucune
Que l’on m’aide
Je ne trouve plus de lumière -
2/ L’horizon
8 novembre 2022, par Marc Alexandre OHO BAMBEDebout sur le toit du Tout-monde je vois le jour qui vient et quelques-uns de nos rêves immenses se lever après avoir escaladé la nuit des mondes anciens je vois des femmes et des hommes qui tremblent fièrement de battre des ailes ensemble drôles d’oiseaux de bon augure volant dans la même direction voguant vers l’à venir cette lampe inconnue de nous
Je vois des âmes qui sèment l’envie l’amour le recours au poème le retour à la raison du plus tendre à la voie de l’être à la vie la vraie rêvée vérité révélée par le livre d’art de vivre inscrit en toutes et en tous intime ouvrage que nous feuilletons page à page et lisons en marchant vers le soleil et la lumière et l’horizonDebout sur le toit du Tout-monde j’espérance encore j’espérance toujours enraciné dans l’errance du poète vivant dans l’Ouvert habitant de chaumières dans le vent et de cabanes plantées sur des îles flottant dans le ciel je vois des enfants leurs parents et les parents de leurs parents franchir ensemble les lignes toutes les lignes de peur et de démarcation de l’Histoire qui parfois tient en joue la tendresse
Debout sur le toit du Tout-monde, je vois des elfes et des fées des druides et des djinns des mages et des pages des fous et des sages des jeunes et des vieux en vie en voix vives et vibration céleste des exégètes se livrant corps cœur et âme à l’interprétation de tous les signes annonciateurs de l’à venir cette lampe inconnue de nous debout sur le toit du Tout-monde je chante un bouquet de mots à la main et je scrute l’horizon
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Il pleut des mots
17 septembre 2019, par Marc Alexandre OHO BAMBEAssis sous le manguier, j’ouvre la voix.
Pour ajouter au jour, lumière et tendresse pleines.
Au pied du char des dieux, chantent les oiseaux, tremble le poème.
Le livre du souvenir s’effeuille, c’est l’automne comme en témoignent ces feuilles mortes à terre.
À ciel ouvert j’écris, vertige.
Je.
Fixe mes pensées dans mon carnet de soleils, il pleut.
Des mots qui fondent, des mots.
Qui font de chaque instant sur le fil, un éloge du temps de vivre.
Il pleut des mots, d’azur et d’espérance.
Des mots qui dansent, des mots, qui chantent, des mots, qui slament, des mots qui maudissent la fatalité, des mots, qui disent "va, vis, vibre, libre deviens", des mots, chevaux de feu qui courent le coeur, des mots, qui tracent chemin sur la mer.
Il pleut, des mots.