Victor monta les escaliers. Mais il s’arreta net. Deux autres types gardaient sa porte d’entrée.
"Merde !"
L’esprit de Victor battait la chamade. Pourquoi ces hommes à ses trousses dans la rues. Avaient-il cherchés à l’acculer chez lui pour qu’il tombe entre les mains de ces deuc là.
Il jeta un bref coup d’oeil. Les deux homme étaient en imper gris. Ils avaient tout deux une bosse au niveau de la ceinture. Des flingues !
Décidemment, cette fois-ci cela ne rigolait pas.
Victor, précaire et chomeur, arrondissait ses fins de mois avec toutes sorte de petit boulots. Légaux ou illégaux d’ailleurs et sans aucun complexe. Tant qu’on pouvait faire perdre la tete au système. Victor était un rebel qui avait perdu toutes ses illusions. L’intallation d’un régime de plus en plus policier n’avait pas réduit son esprit enteté. En véritable tete brulée, il n’avait peur de rien.
N’avait-il pas pourtant dépassé les borne en acceptant ce dernier contrat. Un acheminement. Rien de plus. Victor n’avait pas demandé de quoi il s’agissait. C’était bien payé.
D’habitude, ses dénouées avec la police s’arretait à de simple petit deal sans importance. Mais là. Il aurait peu etre du demander des garanties.
Les deux hommes inclinèrent la tete. Il étaient en comunication avec les autres à l’exterieure.
Il fallait bougé vite. Victor voulu redéscendre. Mais trop tard. Ceux de la rue étaient dans le hall. Il avisa la fenetre. Les toits ? Victor ne pris pas le temps de réfléchir, le bruit des pas s’intenssifiant dans l’escalier. L’étau se resserait.
Il bondit à l’extérieure sur le grand toit. Atteindre l’arrière rue et de là les perdre dans la foule devant le cinéma.
"Eh ! Le gars se fait la malle par les toits"
Victor ce senti repéré. Jouer son va tout. Il se mis à courrir de plus belle sur les tuiles. La pluie tombée de la veille détrempait encore quelques ardoises.
"Arrete-toi ! Ne joue pas les imbécile" crièrent les hommes derière lui.
Victor avisa la première cheminée dans la faible clarté du rayon de lune. Il s’y agripa. Mais il fut surpris par le bruit d’une détanation. Un pan de brique venait d’éclater à quelques centimètre de son visage. Il avait la joue blessée.
Les tirs répétés de ses poursuivant l’obligère à bifurquer sur le toit du centre commercial plutot que vers la rue.
Victor sauta. Il avait atteint la porte d’une arrière boutique. Mais les néon publicitaire le rendait visible comme une mouche dans un verre de lait. Toujours sous la menace des hommes en impers, il s’engouffra par la porte.