Ca aurait pu être un coup de foudre immédiat, mais non, rien de tout cela. Je ne peux supporter son regard qui me fait peur et m’angoisse. Je dois fuir. Je dérobe quelques effets dans le dressing et me voilà à nouveau transformé.
Je dévale les escaliers, la sortie n’est plus loin, encore une porte à franchir et c’est la liberté retrouvée.
Je perçoit le bruit d’une course derrière moi puis un grand choc dans le dos, je m’écroule, je n’ai pas mal, je sens la chaleur de mon sang le long de ma joue, je suis bien, je suis parti.