Grâce à mon nez, Jean-Claude,j’ai pu explorer les grands nord ,de l’Amérique du Nord à la Sibérie.
En chien de traîneau,il était capable de flairer les dangers potentiels quand je traversai la banquise ; un jour,je traversai le lac Baical et soudain la glace s’est rompue sous mon poids en entraînant une partie du traîneau ; Jean-Claude a senti le danger et m’a sauvée de la noyade.
Depuis, Jean-Claude me suis comme mon ombre : il est devenu mon ami de toujours.